Elsa se donne a Pierre (récit n°10)
Ceci est du vécu réel et une partie de ma vie.
Je cherchais depuis un certain temps un mâle directif pour faire de moi sa catin. Malgré des annonces sur plusieurs sites, les prétentants restait trop mou pour moi.
Et puis un soir je reçois un message : « alors comme ça tu cherche un maître pour être dressée en mode salope soumise ». Waouh lui est cash !!! je réponds quoi ? Euh oui. On dit oui maitre me réponds pierre. Putain je m'embarque dans quoi me dis-je. Donc, oui maitre.
Tu es dispo vers 18h ? oui maitre. Donc 18h rdv au café des dames, au métro Villiers. Je porterai un chapeau de paille et un bouton de rose à la boutonnière. Toi tu viens en guêpière, bas nylons, string et juste un imper par-dessus et un plug en cul. Soit à l'heure. Tu es ok ou pas, sinon je passe à un autre. Ahuri je réponds oui machinalement.
Bon il me reste 1h30 pour être maquillée au top, vérifier ma tenue. Je suis fébrile. Mais dans quel plan je suis en train de m'embarquer. Flute je viens de filer un bas, allez j'ouvre une nouvelle pochette et hop j'enfile ces quelques grammes de douceurs qui me rendent femelle.
Je me dirige vers le métro. Le vent soulève un pan de mon imper. Un mec en face a maté les revers de mes bas et me fait un clin d'oeil, je rougis de honte mais heureuse en même temps.
Je regarde ma montre, je suis en avance. Et là le métro s'arrête dans le tunnel ». À la suite d'un incident nous allons patienter quelques minutes ». Flute ce n'est pas le moment. Je commence à flipper, si je suis en retard, je vais me faire recaler. Au bout de quelques minutes, on repart ouf. J'arrive 5 minutes avant le rdv. Je cherche l'homme au chapeau de paille, il est là en terrasse. Je m'avance, il me fait signe de m'assoir. C'est bien tu es en avance ma pute. Voilà les choses sont dites.
Je relis ton annonce : « bonne salope qui en veut, cherche maitre pour la dresser et la mettre à disposition pour en faire sa putain ». On est bien d'accord. Oui maitre. Alors suis moi. On prend la rue de la terrasse, on s'arrête devant un bel immeuble haussmannien. On prend l'ascenseur jusqu'au 2 étage. On entre un appartement très richement décoré avec un salon qui fait au moins 40 m². Je suis ébahie devant tant de luxe. Toi la putain tu n'es pas venue pour regarder le paysage, retire ton imper. J'obéis en laissant glisser mon imper au sol en je me retrouve en petite tenue devant lui. C'est humiliant, il le sait et me tourne autour pour mater la « marchandise » comme il dit. Montre-moi ton plus en cul. Ses paroles sont directes, c'est à la fois glaçant et terriblement électrisant. Je pense que j'ai trouvé mon maitre. Je me penche en avant pour montrer mon bijou inséré dans ma rondelle de pute. Mets tes mains sur tes chevilles. Je m'exécute. Et à ce moment là je le vois prendre une cravache sur un fauteuil. Putain je vais prendre cher.
Tu dois savoir que chaque fois que l'on se verra tu baisseras ta culotte sur tes chevilles et tu donneras ton cul pour avoir 20 coups de cravache pour savoir où est ta place et qui est le maitre. Oui maitre, répondis-je, et je fis glisser mon string sur mes talons. Tu peux serrer les dents car je fais pas des caresses. Et le 1 coup me cingla les fesses. Puis 2, 3... Tu aimes ça salope, avoue. Oui maitre j'aime ça, même si les larmes commençaient à vouloir couler. Mais je ne voulais pas le décevoir, je savais que c'était un test.
J'avais le cul en feu, ça piquait à mort. Bon maintenant met toi à genoux et pompe moi la bite et montre moi tes talents de putain. Là je ne me suis pas fait prier, enfin j'allais passer à prendre du plaisir, enfin je pensais. Je commençais à faire tourner ma langue sur son gland turgescent, cracher dessus et commencer un va et vient pour prendre un max en bouche. Ces mains se sont alors posées derrière ma tête. Va au fond salope. Et je sens une poussée puissante, sa queue m'étouffe et me remplie la bouche. On va compter jusqu'à 15 et ensuite je te libère. Non j'essaie de reculer mais impossible. Les chiffres s'égrainent et enfin 15 je suis limite à vomir. Tu vois ce que j'attends de toi sale pute pour te dresser en bonne putain. Oui maitre je comprends. Tu veux continuer ? oui maitre c'est ce que je suis venue chercher. Mais putain pourquoi je dis ça, il va faire de toi une esclave sexuelle. Mais en même temps c'est aussi un peu ma recherche, mais là c'est haut niveau. Vais-je pouvoir assurer ?
Et pierre continua à se servir de ma bouche comme un sexe toy pendant 20 minutes. Non tu lâcheras me dis-je tu dois assurer. Mais putain je morflais comme jamais. Il proposa une pause-café et clope qui fut la bienvenue. Tu encaisses bien pour une pute ça me plait bien. Ho un compliment. Je savourais ce moment de calme avant la tempête car je savais qu'on était qu'l'apéro.
Bon la récréation est finie. Pierre alla chercher une petite table. Allonge-toi sur la table sale pute. Hésitante je m'exécute. Pierre me met un bandeau sur les yeux. Là c'est plus que flippant. J'entends pierre se rapprocher. Je sens un lien s'enrouler sur une cheville puis l'autre. Et c'est au tour des mains de faire attacher aux pieds la table. Pierre tire d'un coup sec sur mon string et je me retrouve le cul a l'air de façon indécente. Il joue avec mon bijou intime et je jubile mais de courte durée. Il me redonne encore une volée de coups de cravache. Pierre vient me fourrer sa grosse bite dans ma bouche de pute et abuse de moi avec des insultes : tu aimes ça putain, sac à jus, trou à bites etc…
Le fait de m'utiliser comme ça c'est jouissif en fait. Et puis ensuite il retire mon plug. J'entends le clic du tube de gel, il va m'enculer car je suis une putain à bites. Je sens le liquide froid qui coule sur ma rondelle. Puis un doigt vient s'insérer dans mon anus et me fouille le cul. Puis deux et trois. Il va me fister ce con. Et j'entends pierre dire : bon la putain tu vas avoir ce que tu cherches une grosse bite dans le cul. Je sens son gland se frotter sur ma rondelle. Il commence à pousser, je m'ouvre facilement. Mais c'est un gouffre ce cul de pute. Du coup il m'enfile d'un coup sec jusqu'au couilles. Je pousse un hoooooooo. Ha tu la sens bien ma bite sale pute et tu aimes ça, dit le. Oui maitre j'aime ça même si une douleur intense me laboure le cul. Alors il commence à me défoncer, il tape fort. Passé quelques minutes je commence à moins sentir la douleur, puis viens une vague de plaisir qui monte. Jouir dans la douleur je ne connaissais pas, mais je commence à comprendre. Hum la putain tu kiffe ma bite. Oui maitre c'est trop bon. Mes mots dépassent ma pensée. Baisez-moi encore, je suis votre trou à bites. Oui oui encore.
Pierre ne se fit pas prier. Il me tamponna copieusement ma chatte durant au moins 20 minutes. Ses mains se crispèrent sur mes hanches. Je sentis son sexe se gonflé et expulsé son sperme dans ma chatte de putain. Je venais d'avoir ma récompense une grosse dose sperme dans ma chatte de putain. Pierre fit le tour de la table et me donna sa bite à nettoyer. Avec joie ma langue se délecta du reste de sperme et mon jus de chatte de salope. Je sentais le sperme couler de ma chatte et pierre assis sur un fauteuil se délectait de cette vue de la putain qu'il venait de baiser et de remplir. Il me laissa ainsi un certain temps, trop long pour moi, mais j'étais venue pour être dresser pas pour faire la rebelle.
Pierre décida à me libérer et je pus enfin faire une pause. Il me proposa un verre et il fut apprécié avec joie. Va prendre une douche et enfile cette robe après. J'obéis en bonne pute. L'eau chaude sur mon corps me fit beaucoup de bien. Je pense avoir assuré en femelle soumise et ce fut un plaisir intense cette baise où je me suis sentie abusée voir violée.
Pierre avait préparé un repas au sortir de la douche. Il déboucha une bouteille de champagne, un grand cru. Le repas fut agréable et là pierre me considérait comme une femme et non plus comme une putain. Ce revirement était fort agréable. Pierre leva son verre et me dit « tu es la putain que je cherchais je te garde si accepte ». Avec plaisir lui répondis-je.
Après le repas pierre me demanda encore une pipe et ma chatte sur la petite table. Je lui offris avec plaisir. J'étais son jouet, sa vide couilles. Le rêve de nombreuses filles comme moi.
Il me demanda de rester à dormir la nuit avec lui dans lit. Il me donna une belle nuisette blanche en satin. Je me suis lové contre lui et endormi comme une masse et comme une femme. Bon vers 5 h du matin pierre me sollicita pour donner mon cul. Et bien il assure le Pierre. Je me suis rendormie. Vers 9h le café et les croissants attendaient la putain et une belle journée commença.
La suite à suivre…
