Homme Lesbien

Je me ressens aussi comme ça

Très très bien écrit… j'ai moi-même decouvert cela alors que je ne me travestissais pas encore …Des femmes à qui je venais de faire l'amour, et même plusieurs prostituées de luxe, m'ont dit en insistant que je faisais l'amour comme une femme, et absolument pas comme un homme «  normal ». Le travestissement ne m'a apporté que beaucoup plus tard la sublimation de tout ce que j'etais déjà. Pour ma compagne, je suis au depart homme lesbien, devenue travesti par bonheur de l'accepter ! J'ai decouvert plus tard comment les hommes me faisaient l'amour et le plaisir de ressentir leur libido basique, brutale, courte, que j'appelle “ bovine” et que j'adore en femme ….

Oui ti freine je partage totalement ton avis a partir de la pas évident de trouver ça place.bisous

Pourquoi se poser la question? chacun chacune connait sa fibre et à le choix de se découvrir ou se perdre dans sa réalité ou faux semblants...qu'importe le regard d'autrui seule comptent de vivre la sincérité de l'instant comme l'espoir...

Une travestie lesbienne un peu bi, super le non sens ?

Je pense que l on a toutes nos propres raisons de vouloir s habiller en femme. Leurs ressembler, ou bien être la femme qu on voudrait avoir avec nous ou bien être une femme pour exiter les hommes. Pour ma part je me considère bi c est à dire vouloir faire l amour avec une femme, les regarder dans la rue, mais avec un homme être sa chose.

Un homme qui se sent intérieurement femme ne serait-il pas finalement une femme trans? (peu importe son expression de genre, iel en soit conscient ou pas) Du coup ce serait bien une femme lesbienne. Il me semble que cet article nie la transidentité. Je trouve aussi dans cet article beaucoup de dommageables stéréotypes de genre : idéalisation des relations lesbiennes, généralisation de la masculinité toxique à toute relation hétérosexuelle. Comme si une exceptionnelle relation hétéro saine ne le serait que par son côté homo. Le paragraphe sur la "femme pédé" essentialise la femme comme soumise et l'homme comme prédateur. Je crois que ce sont plutôt des constructions sociales. Bref, même si la notion me parle, je ne peux pas soutenir cet article.

Toujours de magnifiques sujets de débats, lancés par TFriend ?? article intéressant, a noté qu il n est pas signé, ni sourcé, (cf Multisources) et plutot a charge sans contre-balancement. Un peu du meme avis que Slutalice, on ressent un "bricabrac" de notions, visant a opposer masculin/feminin qui, oui, la plupart du temps sont des constructions certes "reelles, mais subjectives" de notre heritage a tous historico social... bref des constructions sociales en perpetuelles évolutions, l'article le prouve, d ailleurs, en tatonnant, et en ouvrant un enieme concept "identitaire"...cela reste malgré tout interessant a lire ! Bien que frisant un peu le cliché... la sensibilité feminité d un coté et le virilisme masculin de l autre...un peu de nuance. Pour ceux que ces questions interessent, je recommande l'ouvrage de la philosophe contemporaine Olivia Gazalé "Le mythe de la virilité, un piege pour les deux sexes" (tres accessible... c est pas du Nietzsche mdr) qui aborde ces questions d'identité et de constructions sociales autour des 2 genres. Kiss Ella.

Bonjour moi aussi, depuis toujours, je me suis toujours sentie trav.lesbienne puisque je ne suis pas du tout attirée par les hommes. Merci d'avoir abordé ce sujet car on m'a toujours considérée comme anormale. Biz les filles

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